J'ACCUSE !
A ce jour, (le 14 novembre) les douleurs de la nuque (atteinte des muscles périrachidiens) rendent mes journées difficiles à supporter. Une espèce de rhinite chronique (??) m'empêche d'avoir des nuits tranquilles. Parfois j'ai l'impression d'étouffer.
L'aspect des muscles de mes jambes me donne du souci.
Des creux bleutés, (on dirait des ecchymoses) des bosses à l'intérieur de ces creux, et surtout l'extrème sensibilité de ces muscles, tout cela m'interpelle un peu ! Il y a de quoi ? Ou bien je m'inquiète pour pas grand chose ?
Comme personne, (même pas les médecins), ne me donne de réponse, je suis en droit de me poser encore plus de questions, non ? Alors j'ai hâte de recevoir cette convocation à passer des "vacances parisiennes" ! Au centre de référence des maladies systémiques, la Pitié Salpétrière.
Une HDI, ça vous dit quoi ? Une Hospitalisation à Durée Indéterminée. Enfin indéterminée pour le moment, car si je connais la date de départ (15 décembre) je ne sais pour quelle durée. De nombreux examens encore à passer qui serviront à déterminer, je l'espère, la cause de mes maux, et le traitement adéquat. Mais ce que je souhaite avant tout, c'est comme depuis le début de cette "aventure médicale", la réponse à mes questions. Des questions que tout patient a le droit de se poser... Ceux qui sont victimes comme moi d'une maladie rare, me comprendront. Euh, les autres aussi... sinon c'est à désespérer du genre humain et de son empathie naturelle !
Lu sur Wikipedia
Les maladies auto-immunes sont dues à une hyperactivité du système immunitaire à l'encontre de substances ou de tissus qui sont normalement présents dans l'organisme.
Parmi ces maladies peuvent être cités les thyroïdites auto-immunes, la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante, le syndrome de Goujerot-Sjögren, les myosites, etc.
Leur cause n'est pas encore bien élucidée : certaines d'entre elles sont considérées comme des maladies d'abondance. Les nombreuses substances chimiques artificielles introduites depuis 50 ans dans l'environnement (conservateurs, émulsifiants, stabilisateurs alimentaires, pesticides, particules volatiles polluantes...) pourraient aussi en expliquer un bon nombre, selon certains avis autorisés[réf. nécessaire].
source :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_auto-immune
Déjà bien avant la lecture de cet article, je soupçonnais la cosmétologie (entre autres sources de pollution) d'être à l'origine d'une partie de notre empoisonnement.
J'ai commencé très tôt (12 ans), allez savoir pourquoi, à me "protéger" la peau avec des crèmes... de jour... de nuit... des lotions, des démaquillants, des déodorants, parfums...etc ... Pour une hygiène peut-être trop poussée, je me suis peu à peu empoisonnée toute seule (Enfin, toute seule, c'est à prouver ! Plutôt avec la complicité des grands distributeurs de cosmétiques) ! J'accordais alors une entière confiance à tous ces produits que nous vantaient les magazines de beauté et même de santé ! Or aujourd'hui, pour promouvoir sans doute le marché du BIO, on commence à nous révéler tous les poisons chimiques contenus dans nos produits de beauté !
Alors, je me dis que finalement, on nous a inoculé sous couvert d'hygiène et de soins de beauté, des tas de poisons qui ont fini par rendre fou notre système immunitaire et nous voilà à lutter tant bien que mal avec toutes sortes de maladies auto immunes, difficiles à diagnostiquer et encore plus difficiles à guérir.
Conclusion : Quel est notre recours ? Contre qui se retourner ? Les laboratoires producteurs de cosmétiques chimiques accepteront-ils de reconnaître leur part de responsabilité dans l'émergence de toutes ces nouvelles maladies auto-immunes ? Inutile de rêver. Trop d'enjeux financiers finalement les protègent. Comme toutes les industries qui nous polluent d'ailleurs. Non ce n'est pas un autre débat ! Cela fait partie de cet ensemble de facteurs qui nous tuent à petit feu. (Cf le film : "Nos enfants nous accuseront")
Et comme d'habitude, ceux d'en bas payent pour avoir enrichi ceux d'en haut.
Liza Lo Bartolo Bardin
Noyal Pontivy le 6 novembre 2008